Clash Royale : Decks originaux finale CCGS Arène 10
Sur Clash Royale, il allait être évident que nous allions voir des decks classiques et originaux pour la finale mondiale des CCGS. De ce fait, nous profitons de l'occasion pour vous présenter 2 decks qui appartiennent à la deuxième catégorie, en prenant en compte le fait que dans tous les cas, ils ont pu permettre une qualification.
Spawner Méga Chevalier Arène 10
Composition du deck |
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Machine volante |
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Coût Moyen : 4,0 |
Difficulté : Moyenne/Difficile |
Sans aucun doute, c'est le deck le plus étonnant et exotique qui a pu gagner des parties. Il a été, par exemple, utilisé par MusicMaster lors du 1er tour contre YaoYao, lui assurant la victoire en 8ème de finale sur le score de 2 à 1, mais aussi celle contre Adrian Piedra en quart. Il faut préciser que dans l'esprit, il est assez différent du deck Spawner Arc-X.
Tout d'abord, on peut y voir l'utilisation de la Machine volante, qui ne brille pas dans le ladder et en tournoi. Cependant, on remarque que sa portée, points de vie dégâts potables ont pu assurer.
La seconde carte qui a pu étonner est la Fournaise, que l'on va revoir plus tard dans la finale. Alors que dans le ladder, son utilisation est discutable, la carte a été oubliée en tournoi. La particularité du bâtiment de production est qu'il fait apparaître régulièrement des Esprits de feu, deux à deux. Son atout, en tournoi, est que l'un des deux esprits va pouvoir toucher la tour adverse, quand ils sont laissés seuls. Si, en plus, vous ajoutez la Cabane de gobelin et que vos bâtiments ne sont pas trop embêtés, l'adversaire va être obligé d'utiliser des unités pour défendre.
Autrement, la lourdeur et les cartes de ce deck font qu'il est défensif. Dans ce cas, il est vrai qu'il excelle dans ce compartiment, avec des cartes comme l'Esprit de glace, La Bûche et la Charrette à canon. Cependant, il ne faut pas aussi négliger sa puissance en contre-attaque. Comme on le voit dans ce match, le Golem de YaoYao, au début de l'Overtime, a pu permettre la pose du Méga Chevalier, puis la Machine volante. Ce move, avec une défense suffisante derrière, a scellé la victoire du jeune Américain.
Certes, c'est un deck qui est plus difficile à jouer qu'il n'y paraît, mais dont sa qualité et le fait qu'il puisse vous faire gagner n'est plus à prouver.
Mineur / Méga chevalier "Korean Payfecta" Arène 11
Composition du deck |
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Méga chevalier |
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Dragon de l'enfer |
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Coût Moyen : 3,8 |
Difficulté : Moyenne/Difficile |
Il a été utilisé par SergioRamos pour accéder en finale, contre Tali. Comme vous le lisez, le surnom de ce deck, donné par Clash with Ash, est de Korean Payfecta. En réalité, le Mexicain a utilisé une variation du deck qui a pu permettre à X-Bow Master de se qualifier pour la finale mondiale. La seule différence, en effet, est que SergioRamos a changé les Chauves-souris pour les Gargouilles.
Le terme « Payfecta » se comprend du fait que le deck possède 5 cartes légendaires, ce qui est énorme. Dans la pratique, cela n'en fait pas un deck déséquilibré, bien au contraire. Même si le tout est lourd, c'est un deck qui, en défense, est très puissant. En effet, vous avez le Méga Chevalier, l'Electro-sorcier, le Dragon de l'enfer et les Gargouilles qui peuvent faire énormément, sans oublier vos sorts. Certes, il n'y a pas de bâtiments, mais cela reste extrêmement solide, même si le Fût à gobelins, par conséquent les decks Log Bait, peuvent être un souci, du fait que vous ne pouvez pas les tuer en un coup, sans prendre de dommages sur une tour (ils résistent à un Zap).
En attaque, vous avez un combo avec la Voleuse et le Mineur, qui peut permettre à vos autres unités de s'exprimer. D'ailleurs, cette première est aussi une condition de victoire. Pour être plus précis, c'est une carte qui peut faire mal rapidement sur une Tour, tout en n'étant pas inutile en défense. Il ne faut pas négliger le Méga chevalier, qui peut aussi faire sa part de travail.
Au final, on peut rejoindre ce qu'a dit Clash with Ash dans sa vidéo sur ce deck : sa force vient du fait qu'il est versatile, puisque les cartes peuvent, en globalité, se jouer soit offensivement, soit défensivement. Certes, cela peut prêter à confusion, mais s'il a pu permettre de grandes choses, c'est que cet avis est confirmé par les faits.