Challengers Days : retour sur l'incident tendu entre Joblife et DVM Esport ! Que s’est-il vraiment passé ?

Challengers Days : entre ambiance folle et débordements… On revient sur l’altercation tendue entre Joblife et DVM Esport.

La première édition des Challengers Days en présentiel devait être une fête pour la scène VALORANT francophone. Organisée dans les mythiques Arènes de la Karmine Corp, l’événement avait tout pour briller : un public survolté, des matchs à haut enjeu, des rivalités esportives qui chauffent… Bref, une vraie célébration de la compétition et de la passion. Mais malheureusement, la soirée du samedi a dérapé bien au-delà du jeu.

Alors que l’ambiance était électrique, mais bon enfant en début de journée, tout a basculé lors de la rencontre très attendue entre DVM Esport et Joblife, deux structures suivies par des communautés très actives… et visiblement, très opposées. Un événement inattendu est venu gâcher la fête, avec des tensions qui ont éclaté dans les tribunes forçant l’arrêt pur et simple du match.

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Joblife et DVM : un match VALORANT qui se transforme en drame !


Ce qui devait être un simple match de VALORANT s’est rapidement transformé en scène de chaos. Dès le début de la rencontre entre Joblife et DVM, des cris et des provocations ont fusé entre les fans des deux camps dans les tribunes. Les tensions, palpables, ont vite pris une tournure bien plus inquiétante : des coups ont été échangés.

Plusieurs sources fiables présentes sur place rapportent que certains fans de DVM Esport seraient même entrés armés dans l’enceinte des Arènes. Une information évidemment choquante, qui reste à confirmer officiellement, mais qui a largement circulé sur les réseaux sociaux et dans les discussions des spectateurs.

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L’agression de Fake, membre de Joblife, et la colère de Manzala...


Mais ce n’est pas tout. Le moment le plus grave est survenu peu après, quand Fake, membre de Joblife, aurait été violemment agressé. L’incident n’a pas été capté par les caméras officielles, mais les témoins et membres de l’organisation évoquent un acte "inacceptable". Sur plusieurs vidéos publiées sur les réseaux, on peut apercevoir Manzala, CEO de DVM, menacer Fake et les supporters JL.

Face à cet événement et dans un souci de sécurité, la direction de Joblife a immédiatement décidé de mettre fin au match. Une décision radicale, mais compréhensible compte tenu du contexte. Très rapidement, la police est intervenue sur place pour sécuriser la zone, calmer les esprits et s’assurer que la suite de la soirée puisse se dérouler sans autre débordement.

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Un événement gâché, mais pas détruit !


Heureusement, après cette parenthèse dramatique, la soirée a pu se poursuivre, et ce dans une ambiance bien plus sereine. Le match très attendu entre la Karmine Corp et Mandatory a eu lieu sans encombre, devant un public de nouveau concentré sur l’essentiel : l’esport et le spectacle. Le Blue Wall s'est imposé à la maison devant son public.

Mais malgré cette fin plus calme, l’incident entre Joblife et DVM Esport a laissé des traces. Ce premier Challengers Day "offline", censé marquer une nouvelle étape pour le VALORANT français, restera entaché par cette scène de violence inédite. Les images et les témoignages circulent déjà massivement sur les réseaux, provoquant l’indignation des fans, des observateurs et de nombreuses personnalités du milieu.

Un message fort : la violence n’a pas sa place dans l’esport !


Qu’on soit supporter, joueur ou simple passionné, une chose est sûre : la violence ne peut pas être tolérée dans l’esport. Si la rivalité fait partie du jeu, elle doit rester sur le terrain virtuel. Ce genre d’incidents nuit à l’image de toute une scène, de ses acteurs comme de ses fans.

Les organisateurs ont récemment dévoilé un communiqué en mentionnant bien évidemment que la violence n'a littéralement pas sa place dans l'univers de l'esport :

La ligue de tolérera jamais un tel comportement, totalement incompatible avec les valeurs de l'esport [...] Nous présentons nos excuses aux fans qui se sont déplacés pour assister à cet évènement.

Les yeux sont désormais tournés vers les prochaines annonces de la ligue et des structures impliquées. Une chose est sûre : cet incident restera longtemps dans les mémoires. À l’avenir, espérons que ce soit pour mieux faire, ensemble.

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